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Democratic Republic of the Congo: Des foires alimentaire pour répondre aux besoins d'urgence des populations vulnérables du Katanga en RDC

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Source: Agency for Technical Cooperation and Development
Country: Democratic Republic of the Congo

Pweto [ACTED News] – Les conflits qui affectent la province du Katanga (Est de la République Démocratique du Congo) ont entraîné d’importants mouvements de populations : plus de 500 000 personnes déplacées à l’intérieur de leur propre pays sont actuellement recensées dans cette province d’après OCHA. Beaucoup d’entre eux ont besoin d’une assistance alimentaire d’urgence.

Des foires alimentaires vont permettre d’apporter une assistance alimentaire à 66 000 personnes vulnérables affectées par les conflits au Katanga. Les premières foires ont été organisées par ACTED avec le soutien d’USAID/FFP à la fin du mois de juin dans les localités de Mwenge, Lwantete et Mushima, et ont permis de soutenir 4 500 personnes.


Democratic Republic of the Congo: Nord-Kivu: une ONG demande le redéploiement de la police à Kamandi

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Source: Radio Okapi
Country: Democratic Republic of the Congo

L’ONG Creddho a plaidé, mardi 8 juillet, pour le redéploiement des éléments de la police nationale dans la localité de Kamandi, en territoire de Lubero (Nord-Kivu). Le poste de la police de cette localité a été dégarni, depuis une semaine, à la suite d’une altercation entre policiers et civils. Le chef d’antenne locale de l’ONG Creddho a indiqué que plusieurs infractions se commettent depuis le départ des policiers de Kamandi.

Les habitants de Kamandi avaient incendié, le 26 juin dernier, le bureau du sous-commissariat de la police après qu’un policier avait abattu un homme et blessé un autre. D’autres habitants dénoncent l’érection des barrières routières et la vente des alevins. Des activités pourtant interdites. le chef de la localité de Kamandi, Kambere Marumba estime que le retour de la police aidera à réguler la vie communautaire à Kamandi.

Cette demande doit être formulée officiellement, a répondu pour sa part le commandant du commissariat de la police de Kanyabayonga, capitaine Ngango Bitasimwa.

Rwanda: 11 children reunited with their families

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Source: International Committee of the Red Cross
Country: Democratic Republic of the Congo, Rwanda

Kigali / Geneva (ICRC) – Eleven Rwandan children have been repatriated from the Democratic Republic of the Congo (DRC) to Rwanda, where they were reunited with their families. Scattered by the violence that has gripped the region for several years, the families were at last reunited thanks to the efforts of the International Committee of the Red Cross (ICRC) to trace the children’s relatives. This hard work is paying off; 50 Rwandan children have now been reunited with their families since the beginning of the year.

“Today, after seven years apart, 15-year-old Jean-Claude and his 12-year-old brother Petit Olivier have at last been reunited with their mother,” said Elias Wieland, deputy head of the ICRC delegation in Rwanda. “The boys became separated from their mother in the DRC in 2007, during clashes between an armed group and the army. They were taken in by a foster family.”

With the boys in the DRC and the mother in Rwanda, they turned to the ICRC in their bid to find each other. Unfortunately the names the boys had provided were wrong and every attempt to contact their relatives, such as through Red Cross messages, failed. It was only when the names of the parents and the children were broadcast on the radio that ICRC staff were at last able to track down the mother, who was in Gasoro, Kigoma sector, Nyanza district, Southern province.

“We and our colleagues in the DRC are naturally delighted about this outcome,” said Elias Wieland. “But we mustn’t forget that there are hundreds of other Rwandan children, whether in Rwanda, the DRC or other countries in the region, who are still waiting to be reunited with their families.”

For further information, please contact: Marie-Servane Desjonquères, ICRC Geneva, tel: +41 79 574 06 36, Twitter @MsdjkrICRC
Emmanuel Kagimbura, ICRC Kigali, tel: +250 78 830 05 09

South Sudan: Refugee Population Statistics in South Sudan as of 30-June-14

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Source: UN High Commissioner for Refugees
Country: Central African Republic, Democratic Republic of the Congo, Ethiopia, Sudan, South Sudan
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South Sudan: Refugees in South Sudan by Location and Nationality, 30 June 2014

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Source: UN High Commissioner for Refugees
Country: Central African Republic, Democratic Republic of the Congo, Ethiopia, Sudan, South Sudan
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Democratic Republic of the Congo: Bulletin d'Information Humanitaire - Province du Nord-Kivu N°21/14, 8 juillet 2014

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Source: UN Office for the Coordination of Humanitarian Affairs
Country: Democratic Republic of the Congo
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Faits saillants

  • Près de 20 000 personnes déplacées suite aux opérations militaires contre des groupes armés dans le Territoire de Walikale.

  • Plus de 51 000 personnes déplacées et autres vulnérables assistées en vivres.

Contexte général

Dans le Territoire de Walikale, environ 20 000 personnes ont été contraints à se déplacer depuis le 1er juillet des localités de Kibua, Mera, Kasika, Binyampuri et autres dans la foulée suite aux opérations militaires de l’armée nationale (FARDC) contre des groupes armés à partir de Kibua, localité située à environ 84 km au nord-est de Walikale Centre.

Ces opérations surviennent après la reprise, le 20 juin, d’affrontements lancés par les FARDC dans les localités voisines de Mungazi, Miba, Ishunga et Kibua. Avec l’appui logistique de la Brigade d’intervention de la MONUSCO (FIB), les FARDC contrôlaient, à la date du 4 juillet, tous les villages situés entre Walikale Centre et Kashebere, à 110 km à l’est. Une accalmie relative y est observée et le mouvement d'arrivée des déplacés s'est relativement stabilisé. A Walikale Centre, 827 ménages ont été recensés par le comité local chargé des mouvements de population et par la société civile. Le recensement se poursuit dans d’autres quartiers du chef lieu de ce territoire.

Hébergés en familles d'accueil, les déplacés bénéficient d'une prise en charge gratuite des soins médicaux dans les structures appuyées par les partenaires humanitaires (IMC et MSF).
Aucune autre assistance n'a encore été fournie depuis le début de cette crise.

La présence de près de 8 000 personnes déplacés est rapportée dans la zone de Kaynama (nord du Territoire de Beni) par des sources locales du groupement de Kaynama. Arrivés depuis le 20 mai, ces ménages proviennent des localités de Kpele, Bango, Kpolou, Malundi, Vudaki, Misongo, Kamuvuyu et Mangusele et ont fui des affrontements qui ont opposé les FARDC aux groupe armé Allied Democratic Forces (ADF). Ces déplacés éprouvent des besoins humanitaires multiples. Le centre de santé local qui fonctionne par un système d’auto financement est en rupture de stock de médicaments; une forte fréquence de certaines pathologies sont signalées dans cette zone notamment le paludisme, des diarrhées, des Infections respiratoires aigües (IRA) et des cas de violences sexuelles. Le centre de santé est dépourvu de kit PEP pour la prise en charge des survivantes de violences sexuelles.

Au sud Lubero, la présence de plus de 1 600 ménages déplacés a été rapportée dans certaines localités. La plupart de ces ménages fuient la zone de Fatua (ouest de Lubero) suite aux affrontements récurrents entre groupes armés Nduma Defence of Congo (NDC) et Forces démocratiques de libération du Rwanda (FDLR). Ainsi, ces ménages sont enregistrés à Alimbongo (412 ménages), à Makoko (723 ménages) après actualisation de chiffres des déplacés dans cette contrée par Solidarités International (SI), partenaire du programme de Réponse rapide aux mouvements de population (RRMP). D’autres déplacés ont été enregistrés à Luofu, à Bingi, Mbwavinwa et à Kamandi, au sud-est (508 ménages). Une partie de déplacés de Kamandi provient de la localité de Ndwali (sud-est) après avoir été déguerpis par l’Institut congolais de conservation de la nature (ICCN). Solidarités international envisage une évaluation des besoins humanitaire de ces déplacés

Democratic Republic of the Congo: Bulletin d'Information Humanitaire - Province du Sud-Kivu N°25/14, 9 juillet 2014

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Source: UN Office for the Coordination of Humanitarian Affairs
Country: Democratic Republic of the Congo
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Faits saillants

Plus de 3 000 personnes déplacées à Hombo Sud en Territoire de Kalehe

Mouvements de population

Selon les estimations des autorités, plus de 3 000 personnes déplacées sont arrivées à Hombo Sud, en Territoire de Kalehe, au courant du mois de juin, en provenance du Territoire de Walikale au Nord-Kivu. Ces personnes ont fui l'insécurité liée aux affrontements entre deux factions Raïa Mutomboki (RM) dans leurs villages situés sur l'axe Katatwa-Musenge, du 20 au 30 juin, et hésiteraient encore à rentrer par crainte d'autres attaques dans la zone. D'autres familles ont également fui vers la forêt et vers différentes localités du groupement de Waloaloanda au Nord-Kivu. On estime à 14 000 personnes le nombre total des déplacés ayant fui le sud du Territoire de Walikale. Dans la foulée des affrontements, ils auraient également été victimes d'exactions par les RM. Ces familles vivent dans des familles d'accueil et elles n'ont reçu aucune assistance humanitaire à ce jour. Une mission d'évaluation multisectorielle sera conduite par la Fondation Associazione Volontari per il Servizio Internazionale (AVSI) à partir du 8 juillet ce qui permettra une meilleure compréhension de la situation humanitaire. La mission d’évaluation s’étendra à Hombo Nord car cette contrée est régulièrement inaccessible aux acteurs humanitaires du Nord-Kivu.

Democratic Republic of the Congo: Bas-Congo : inquiétudes de la société civile sur les expulsions du Congo Brazzaville

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Source: Radio Okapi
Country: Congo, Democratic Republic of the Congo

Le coordonnateur de la société civile du Bas-Congo fait état de quelques vagues des retournés volontaires et des expulsés de la ville de Pointe Noire (Congo) pour la RDC. Il redoute cependant des infiltrations, du fait que ces personnes regagnent de la RDC par plusieurs entrées.

«Nous sommes dans un pays post conflit, tout est possible», prévient le coordonnateur de la société civile du Bas-Congo,Valentin Vangi Ndungi. Il appelle les autorités de la RDC à harmoniser ces retours avec leurs homologues du Congo-Brazzaville pour canaliser ces expulsions vers un seul site.

Il plaide pour que toutes ces personnes regagnent le pays par le poste frontalier de Kipangala, situé à 330 kilomètres à l’ouest de Matadi. Cela permettrait aux services compétents de la RDC de vérifier l’identité de chacun, affirme-t-il.


Democratic Republic of the Congo: Sud-Kivu : le cholera a sensiblement reculé dans la zone de santé de Nundu

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Source: Radio Okapi
Country: Democratic Republic of the Congo

Le médecin chef de la zone de santé de Nundu a annoncé mardi 8 juillet une baisse sensible du cholera dans cette zone de santé située au sud de Bukavu, dans le Sud-Kivu. Selon Dr Joseph Matundanya, le nombre des malades est passé de quatre-vingts en juin à quatre la semaine dernière.

Pour ce médecin , la chloration de l’eau, en partenariat avec l’ONG Solidarité internationale, ainsi que la désinfection pour éviter la contagion sont à la base de cette baisse.

L’augmentation de l’utilisation de l’eau potable, qui ne concerne actuellement que 25 à 30% de la population, pourrait permettre de lutter efficacement contre le cholera, a-t-il affirmé.

Central African Republic: Central African Crisis: Regional Humanitarian Snapshot (as of 08 July 2014)

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Source: UN Office for the Coordination of Humanitarian Affairs
Country: Cameroon, Central African Republic, Chad, Congo, Democratic Republic of the Congo
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Democratic Republic of the Congo: WHO Rapport de situation # 08 | Mise à jour, 29 juin- 6 juillet 2014

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Source: World Health Organization
Country: Angola, Congo, Democratic Republic of the Congo
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FAITS SAILLANTS

  • Expulsion des congolais de RDC de la République du Congo (Brazzaville) | L’assistance humanitaire sur le site de transit de Maluku (65 km au Sud-est de Kinshasa) se poursuit, en dépit d’une diminution constatée. Actuellement, 2 .414 personnes refoulées sont sur le site de Maluku. Au 29 juin 2014, on comptait 550 rapatriés par bateau vers l’Equateur. Un autre bateau est prévu pour quitter entre le 08 et le 09 juillet avec 350 à 500 personnes.

  • Remise par l’UNICEF des 2 kits médicaux pour 2.250 personnes; l’OMS va combler le gap avec d’autres intrants pour couvrir les besoins des expulsés sur le site.

  • Depuis le début de l’opération ‘Mbata ya Bakolo’ (NDLR: Gifl e des aînés) initiée par les autorités de la République du Congo début avril 2014, on estime, au 02 juillet 2014, à 285.000 congolais de RDC (selon le Gouvernement provincial de Kinshasa); d’après OCHA, le nombre de ces expulsés, recensés au 16 juin 2014 était de 141.442 personnes qui ont déjà quitté, soit par la force, soit volontairement le Congo-Brazzaville dans des conditions précaires pour retourner dans leur pays d’origine, .

  • Réduction des cas de choléra au Sud Kivu (Est de la RDC): 85 cas notifi és au cours de la semaine 26 contre 163 cas notifi és pendant la semaine 25. En revanche, épidémie de choléra déclarée par les autorités le 18 juin 2014 dans la ZS de Ruzizi.

  • Don de l’OMS des 2 kits choléra à la Division provinciale de la santé du Sud Kivu pour approvisionner le Centre de traitement du choléra (CTC) de Sange. L’ONG MDA appuie les efforts de lutte dans la prise en charge médicale des cas tandis qu’OXFAM GB appuie les activités de chloration de l’eau..

  • Mouvements de population au Maniema | Déplacement de près de 50.000 personnes entre avril et juin 2014, dans les territoires de Kabambare (26.225), de Punia (18.280) et de Pangi (5.160). Les causes, selon OCHA, sont attribuables entre autres aux :

attaques des Maï-Maï ‘Yakutumba’ (groupe armé) début avril 2014;

attaques des Maï-Maï ‘Raïa Mutomboki’ début juin 2014 contre 25 villages de l’Aire de Santé de Kyolo.

Democratic Republic of the Congo: ACAPS Briefing Note: Conflict in Katanga, Democratic Republic of Congo (DRC) - 09.07.2014

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Source: Assessment Capacities Project
Country: Democratic Republic of the Congo
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Crisis Overview

  • Active fighting resumed in 2012 in Katanga; a complex humanitarian crisis in the richest and most politically sensitive province in of DRC.

  • Violence, abuses including abduction, looting, rape, and forced recruitment of children by armed groups are major concerns.

  • 500,000 displaced lost their homes and livelihoods, 2.6 million people are food insecure, emergency levels of malnutrition in some areas as well as recurrent epidemics and exposure to natural disasters increase their vulnerability.

  • Access is extremely difficult due to poor infrastructure and violence. Lack of basic services and infrastructure is exacerbated by the conflict, resulting in enormous humanitarian needs.

  • The 2016 elections are expected to aggravate the conflict and humanitarian situation further.

Key Findings

**Anticipated scope and scale **

  • Rapidly deteriorating security situation, with 100,000 new IDPs in the first three months of 2014.

  • Over 500,000 IDPs in desperate conditions, with insufficient/no humanitarian assistance.

  • Over 400,000 IDPs and 2.6 million people living in highly violent areas are suffering a food security crisis and high levels of malnutrition.

  • Most vulnerable complex emergency areas include Pweto, Manono, Mitwaba, Moba, and Malemba Nkulu.

  • Situation likely to be aggravated by presence of new armed groups in Katanga and the 2016 elections

Democratic Republic of the Congo: Isangi : 30 km de routes de desserte agricole seront réhabilités grâce au projet Redd

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Source: Radio Okapi
Country: Democratic Republic of the Congo

Environ 30 kilomètres de routes de desserte agricole seront réhabilités à Isangi (Province Orientale) d’ici 2015 dans le cadre du projet de Réduction des émissions dues à la déforestation et à la dégradation (Redd). Selon le coordonnateur du Programme de protection et conservation de la nature (PCN), Janvier Lisingo, la réhabilitation des routes de desserte agricole et l’application de nouvelles techniques agricoles permettent de protéger la forêt.

Une délégation de la Banque africaine de développement (Bad), du ministère de l’Environnement et des organisations chargées de mettre en œuvre ce projet pilote ont constaté la réalisation des travaux samedi 5 juillet.

Selon le coordonnateur du programme de protection et conservation de la nature, ce projet a déjà réhabilité six ponts sur l’axe Yankeleli – Yalosuna. Il prévoit aussi la culture de près de 60 hectares des champs de maïs et manioc ainsi que celle des arbres à croissance rapide.

Les coopératives de développement (Coped) des villages ciblées par le projet Redd à Isangi espèrent que les travaux de réhabilitation de ces routes ne s’arrêteront pas en chemin.

«S’il y a dégradation de la forêt, c’est parce qu’il y a la pauvreté. C’est pourquoi nous sommes contents des activités du projet, notamment la réhabilitation de route en cours. Mais nous nous posons la question: est-ce que les travaux vont arriver à la fin?», s’est interrogé Gaspard Iseyambele, président de Coped du village Yatumbu.

Pour le coordonnateur du projet Redd à Isangi, toutes les activités d’étude, de recherche sur la forêt, de relance de la production agricole durable et d’ouverture de route seront achevées avant l’expiration du projet en 2015.

Les initiateurs du projet Redd espèrent qu’avec des routes agricoles en bon état, les paysans s’adonneront davantage à l’activité agricole qu’à toute autre activité provoquant la déforestation.

Democratic Republic of the Congo: Bulletin d'Information Humanitaire - Province du Katanga N°22/14, 9 juillet 2014

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Source: UN Office for the Coordination of Humanitarian Affairs
Country: Democratic Republic of the Congo
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Faits saillants

  • ECHO octroie 5 millions d’euros pour assister plus de 170 000 personnes vulnérables dans les zones en conflit
  • Qui pour prendre la relève après Médecins d’Afrique dans les zones de sante de Dilolo et Kasaji?

Contexte général

Plusieurs centaines de personnes continuent à se déplacer de la zone de Wimbi, localité située à 180 km au nord de Kalemie, à la suite des offensives du 21 et 25 juin lancées par les Forces armées congolaises (FARDC) contre les Mayi Mayi Yakutumba. Depuis l’occupation le 16 juin, de sept villages situés le long du Lac Tanganyika par ces combattants, les populations civiles vivent dans une psychose totale. Jusque là, aucune assistance n’est accordée à ces personnes, car la situation sécuritaire reste encore très volatile.

Rwanda: John Kayihula, Congolese refugee in Rwanda: I focus on sport so as to forget my life

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Source: IRIN
Country: Democratic Republic of the Congo, Rwanda

GIHEMBE REUGEE CAMP (RWANDA), 9 July 2014 (IRIN) - Few of the 14,700 Congolese refugees in Rwanda’s Gihembe camp envisage returning home any time soon. As with Rwanda’s total caseload of 75,000 Congolese refugees, most are Tutsis who arrived between 1995 and 1997 from Masisi and Rutshuru territories in North Kivu, a province which still has a plethora of armed groups, making it too dangerous for the UN to organize refugee returns.

Many of those in Gihembe, such as John Amini Kayihura, arrived as young orphans, fleeing Congolese militias or the Rwandan Interahamwe extremists who did much of the killing during Rwanda’s 1994 genocide.

“I came in 1996 from Mweso in Masisi Territory [in North Kivu Province]. Because we speak Kinyarwanda people cannot distinguish us from Rwandans, so we were chased in DRC and had to come to Rwanda - the Hutus who carried out the 1994 genocide came into DRC and started to kill Congolese Tutsis.

“My parents were killed on the way from DRC. I don’t remember much of what happened on the way to Rwanda.

“I came with my brother, but he’s not here now. He left one day in 2009 when I was in school.

“Getting money for living, getting anything, is not easy. We used to get food from WFP, now we get sent money via mobile phone to pay for food.

“We get free schooling up to three years of secondary, after that we have to pay.

“I teach in the secondary school, and earn enough money to buy some clothes, but it’s not very much.

“As a youth leader I focus on sport and leisure so as to forget my life here.

“I have never been back to DRC. I don’t see a good future for me. When you see this life, it’s no way to prepare for a good future. You can do that when you have your land and your rights.

“Once peace returns to DRC we could repatriate. But then the big problem is the Interahamwe is still there and our land is taken by other people.

“Also the ideology of other tribes is a big issue, one that led us to come to Rwanda. If this ideology is still there it will not be easy to go back. But we are Congolese.

“When we came [from DRC] to Rwanda they attacked and killed us at Mudende [refugee camp]. There has been no follow-up [to these 1997 massacres].

“Many of us need another place to be located [in DRC] where they are safe.

“Because I left when I was young I don’t know where my land is and I don’t know anybody who could show me. There are so many who don’t know exactly where they came from.

“I don’t have any hope for repatriation. It would be much better to be located somewhere else; I am talking about resettlement. I would rather go somewhere else than DRC. Some friends of mine went back there, but returned shortly because of insecurity.”

am/cb


Democratic Republic of the Congo: North Kivu’s Long, Rocky Road to Stability

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Source: Refugees International
Country: Democratic Republic of the Congo
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The deployment of the United Nations Force Intervention Brigade and the expulsion of the M23 rebel group have led many to herald a new era of peace in the Democratic Republic of Congo’s North Kivu province. Yet much of the province remains unsafe, many humanitarian needs are not being met, and stability over the long-term is far from guaranteed.

A multitude of armed groups are still active, and clashes between them and UN and Congolese forces have led to displacement and human rights violations. The UN’s much-touted “Islands of Stability” concept has also been poorly implemented, alienating many humanitarian actors. All of this is taking place in a difficult humanitarian context, with substantial funding shortfalls, growing pressure for the return of displaced people, and inadequate support for those who have gone home. A clear-eyed approach to North Kivu will be needed for the international community to tackle these challenges and preserve its hard-won gains.

POLICY RECOMMENDATIONS:

  • Donors should increase funding for humanitarian programs in North Kivu while simultaneously funding transition and development programs.

  • The Humanitarian Country Team, the United Nations Organization Stabilization Mission in the Democratic Republic of Congo (MONSUCO), and the Great Lakes special envoys must maintain the position that all refugee and IDP returns must be voluntary and based on international law.

  • No further Islands of Stability should be established and the International Security and Stabilization Support Strategy should be the framework that guides all stabilization activities.

  • MONUSCO should play a more proactive role in protecting civilians from abuses by the Congolese army (FARDC) during joint operations, and the Force Commander should encourage MONUSCO troops on the ground to pressure FARDC offenders to halt actions that violate international humanitarian and human rights law.

  • A civilian risk mitigation advisor should be placed in the Force Commander’s office to strengthen the contingency planning process.

Michelle Brown and Michael Boyce assessed humanitarian and protection efforts in North Kivu Province in May 2014.

Democratic Republic of the Congo: Nord-Kivu/Minova : Un hôpital qui sauve les femmes enceintes

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Source: Caritas
Country: Democratic Republic of the Congo

Kinshasa, le 04 juillet 2014 (caristasdev.cd):– Plus de 120.000 personnes sont bénéficiaires des services de l’hôpital de Minova, dans l’est de la République démocratique du Congo (RDC). Grâce à Caritas Goma.

Elle était installée calmement dans sa cuisine quand elle a commencé à saigner. Adolphine, 34 ans, attend de donner naissance à un nouvel enfant. Son 17e enfant. A l’hôpital de Minova, à 55 km de Goma, où elle a été reçue, Adolphine suit des soins appropriées.

Cette femme enceinte de huit mois, est toutefois consciente de risques auxquels elle est exposée. Mais elle n’en peut rien dans une communauté où la maternité est liée à la volonté du mari. “Mon mari ne veut pas que le médecin me ligature les trompes. Il dit que les enfants sont un cadeau de Dieu”, affirme Adolphine.

Pour Marie Paul Cirimwami, gynécologue, les risques que court Adolphine ne sont pas négligeables. “Le danger est qu’elle risque de faire une hémorragie lors de la délivrance. Son utérus a déjà été exposé à plusieurs contractions des grossesses d’avant. Elle ne pourra peut-être pas supporter. Ce qui mettra en péril sa vie et celle du bébé”. Le docteur parle également du faible poids que pourrait avoir l’enfant et de certaines mal formations du fœtus suite au non espacement des naissances. “Des bébés à forte volume de la tête”.

Adolphine est une paysanne qui vit avec son mari et ses 12 enfants (quatre étant morts) à Mushenyi, un village situé à 4 km de la cité de Minova. Menant une vie misérable, le couple n’est pas en mesure de faire scolariser même un enfant.

Comme Adolphine, de centaines d’autres femmes enceintes, présentant des complications liées à la grossesse, sont reçues à l’hôpital de Minova. Au service de la région depuis 2009, l’hôpital a été construit grâce au financement de l’ONG espagnole MANOS UNIDAS. Il est alimenté en eau potable grâce au financement de CAFOD (Caritas d’Angleterre et du Pays de Galles) et de Secours Catholique (Caritas France).

Dans le souci de limiter, tant soit peu, la mortalité maternelle et infantile, la maternité de cet hôpital général de référence a été spécialement équipée grâce au financement de l’association australienne Knights of the Southern Cross (KSC). Cette association des vieillards australiens travaille en partenariat avec Caritas Australie. Cette dernière finance, à son tour, les projets exécutés par Caritas Goma dans la prise en charge des victimes de violences sexuelles et des personnes vivant avec le VIH/SIDA.

Avec la construction de cet hôpital de 118 lits, cinq médecins et une trentaine d’infirmiers, la région de Minova ne dépend plus de la zone de santé de Kirotse. Elle en est aussi devenue une nouvelle zone de santé. [112/2014]

Source: Cellule de Communication Caritas Goma

World: 2013 Annual Statistical Report on United Nations Procurement

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Source: UN Office for Project Services
Country: Afghanistan, Argentina, Belgium, Brazil, China, Democratic Republic of the Congo, Denmark, Ethiopia, France, India, Jordan, Kenya, Lebanon, Pakistan, Panama, Russian Federation, South Africa, Sudan, Switzerland, Turkey, Uganda, United Arab Emirates, United Kingdom of Great Britain and Northern Ireland, United States of America, World, Zimbabwe, South Sudan
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United Nations increases health spending in 2013

COPENHAGEN, 10 July 2014 – The value of procurement of goods and services by the United Nations was $16.1 billion in 2013, with the largest sums spent on pharmaceuticals, healthcare services, medical equipment, transportation, construction and food.
These highlights are part of the latest Annual Statistical Report on UN Procurement, which provides data and analysis on the goods and services procured by the UN system in support of its operations.

The report shows a continuing positive increase in UN procurement from developing countries and countries with economies in transition over the last ten years, which currently represents over 60 percent of total UN procurement. From 2009 to 2013, procurement from these countries increased by more than $2 billion.
Among the ten major countries to supply UN organizations in 2013, four were developing countries and countries with economies in transition – India, Afghanistan, the United Arab Emirates and Kenya.
Overall, the three largest countries of supply were the United States of America, accounting for $1.7 billion, followed by India at $1 billion and Switzerland at $716.6 million.
The report reveals that UN organizations are actively promoting sustainable procurement, with 24 organizations implementing a range of initiatives such as training and support for sustainability integration in the procurement process. The report also provides data on suppliers that support the United Nations Global Compact, which promotes corporate social responsibility, particularly in the areas of human rights, labour, environment and anti-corruption. The volume of procurement with registered Global Compact members has grown steadily over the last five years, reaching 27 percent of contracts of $30,000 or more in 2013, up 11 percent since 2009. The United Nations strongly encourages suppliers to sign up to the initiative, which includes over 12,000 members.
This edition marks the 30th anniversary of the report, which has been compiled by the United Nations Office for Project Services (UNOPS) on behalf of the UN system. The report shows that the largest purchasers overall were the United Nations Procurement Division (UN/PD), the United Nations Children's Fund (UNICEF), the United Nations Development Programme (UNDP), the World Food Programme (WFP), the Office of the United Nations High Commissioner for Refugees (UNHCR), the World Health Organization (WHO) and UNOPS, in descending order.
The full report can be downloaded on the UNOPS website and the United Nations Global Marketplace (UNGM).
For more information: Alan Changtrakul, AlanCH@unops.org, tel: +45 4533 7571

Angola: Mine clearance makes the return of thousands of refugees possible

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Source: Finn Church Aid
Country: Angola, Democratic Republic of the Congo, Zambia

After at least 12 years in refuge more than 5,000 people will now be resettled in Moxico Province in Angola on land cleared of landmines by DanChurchAid (DCA). FCA has been funding this project for three years.

They fled Moxico Province during the 27 year long civil war that finally ended in 2002, and are now returning from Zambia and the Democratic Republic of Congo and other parts of Angola. They have not been able to return to their home locations before because of the threat of landmines and unexploded ordnance.

The threat is now eliminated as DCA on the 27th of May handed more than 587,457 square meters of cleared land in the area known as “Alto Campo” to the Provincial Government in Moxico Province.

The area Alto Campo is located only 6 kilometers outside the capital city of Moxico Province, Luena. The minefield was laid in the mid-80s by Cuban and government forces to protect the local airfield from attack by rebels.

Tribute to the staff

Angola is one of the most contaminated countries in the world and many areas lies desolate for years because of the threat of landmines just like Alto Campo.

However with help from organisations such as DCA more and more land is being cleared to the benefit of both individuals and the country as a whole.

At the handover DCA Programme Manager Anthony Connell gave tribute to the courage of the Angola staff who risked their life on a daily basis as they searched the contaminated ground clearing landmines and other explosive remnants of war.

He also explained that the work could not have been done without the donors funding the project: the Ministry of Foreign Affairs in Finland and FinnChurchAid, U.S. Department of State, the European Union and A.P. Moller Fonden & Bekgaard Foundation.

Text: Anthony Connell, Country Representative, DCA HMA Angola

Democratic Republic of the Congo: Walikale, la MONUSCO renforce les capacités de la PNC sur le maintien de l'ordre

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Source: UN Organization Stabilization Mission in the Democratic Republic of the Congo
Country: Democratic Republic of the Congo

Nord-Kivu, 24 au 26 juin 2014 - Une équipe d’officiers de police de la MONUSCO, en mission dans le territoire de Walikale, au Nord Kivu, du 24 au 26 juin 2014, a tenu des séances de sensibilisation et de renforcement des capacités opérationnelles en matière de maintien et rétablissement de l’ordre public (MROP), dans le respect des droits de l’Homme, au profit des Unités de la Police Nationale Congolaise (PNC).

Cette mission de formation a été effectuée dans le cadre de l’appui technique et matériel qu’apporte la MONUSCO pour favoriser la protection des civils et le rétablissement de l’autorité de l’Etat dans les îlots de stabilité, c’est-à-dire les zones libérées de la présence de groupes armés.

Le programme de formation a comporté deux thèmes principaux, a savoir les Fondements de l’Action de Police et la Psychologie des foules. Une revue des principaux concepts a été effectuée pour chacun des thèmes. Sous le premier thème, les participants ont eu l’occasion de revisiter des notions telles que : la composition de la force publique; la question de Qui a autorité sur la force publique ; les différentes réquisitions ; les sommations. Et pour le deuxième thème, les séances ont porté notamment sur : l’étude du comportement de l’homme dans différentes situations : homme isolé, homme mêlé à une foule calme ou une foule hostile ; ainsi que sur l’attitude et le comportement d’un agent de maintien de l’ordre devant une foule calme ou une foule hostile ainsi que les règles de comportement d’un agent de maintien de l’ordre dans l’action.

En fin de séance, les représentants de la police MONUSCO (UNPOL) ont remis 4 modules MROP à la PNC, en particulier pour la Compagnie mobile d’intervention (CMI).

UNPOL DOMBWA Celestine

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