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Channel: ReliefWeb - Updates on Democratic Republic of the Congo
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Democratic Republic of the Congo: UN to formally end support for DR Congo operation

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Source: Agence France-Presse
Country: Democratic Republic of the Congo

United Nations, United States | AFP | Saturday 2/14/2015 - 17:24 GMT

The United Nations is pulling its support for a Democratic Republic of Congo military operation against rebels after Kinshasa missed a deadline to sack two generals, a UN official said Saturday.

The UN's 20,000-strong MONUSCO force had been working with Congo's army on a plan to drive out the Democratic Forces for the Liberation of Rwanda (FDLR) rebels from the east of the country.

The planned joint offensive reached an impasse when UN officials demanded that two leading generals accused of human rights violations be replaced as a condition for supporting the military action.

"The initial two-week period ... has expired," the official told AFP.

"The next step is the dispatch of formal letters to the relevant Congolese authorities concerning the cessation of support," the official said.

The correspondence will be sent by the end of the week, the official said.

DR Congo's President Joseph Kabila's government this month rejected a UN ultimatum to replace the two generals who are on a UN "red" list of known human rights violators.

UN officials told Kinshasa to fire the two generals or forfeit MONUSCO's support for the operation.

The UN move was limited to the planned operation against the FDLR and did not affect other military campaigns against the many rebel groups that roam the eastern DR Congo.

The United Nations is pushing for the disarming of dozens of rebel and splinter groups after two decades of conflict in eastern DR Congo, much of it fueled by the lucrative trade in minerals.

avz/jv/sdo

© 1994-2015 Agence France-Presse


Kenya: UNHCR Kenya Factsheet - January 2015

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Source: UN High Commissioner for Refugees
Country: Burundi, Democratic Republic of the Congo, Eritrea, Ethiopia, Kenya, Rwanda, Somalia, South Sudan, Sudan, Uganda

HIGHLIGHTS

22,262 Identified unaccompanied minors

0 Households provided with cash grants in year 2015

69592 NFIs distributed since January 2015

376 Shelters distributed since January 2015

Democratic Republic of the Congo: Congo renounces U.N. support for campaign against Rwandan rebels

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Source: Reuters - AlertNet
Country: Democratic Republic of the Congo

KINSHASA, Feb 15 (Reuters) - Democratic Republic of Congo President Joseph Kabila has renounced U.N. support for a military campaign against Rwandan Hutu rebels and criticised international interference in national affairs, the government spokesman said on Sunday.

Read the full article

Democratic Republic of the Congo: RDC: l’opposition dénonce un calendrier électoral «non consensuel et irréaliste»

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Source: Radio Okapi
Country: Democratic Republic of the Congo

Au terme de deux jours de discussion à Kinshasa, l’opposition congolaise a qualifié le calendrier des élections publié jeudi 12 février par la Commission électorale nationale indépendante (Ceni) de « non consensuel, irréaliste et incohérent ». Les opposants qui affirment ne pas rejeter «totalement» ce calendrier, promettent d’apporter à la Ceni leur contribution pour le rendre plus réaliste.

L’opposition estime que la Ceni « quoique détentrice du pouvoir légal d’arrêter le calendrier électoral » aurait dû consulter les acteurs politiques et ceux de la société civile à l’effet de rechercher un minimum de consensus.

Elle relève également le « nombre élevé des contraintes externes listées par la Ceni et internes liées à l’organisation des élections », déplorant « le caractère irréaliste de ce calendrier ».

«Ce calendrier a mis beaucoup de choses pour le rendre indigeste, pour obtenir le glissement. Nous avons ouvert l’œil et le bon. Et nous disons que nous allons faire des propositions pour le rendre réaliste, réalisable et faisable», a déclaré Vital Kamehe, président de l’Union pour la nation congolaise. L’opposition propose un toilettage urgent des aspects qui posent problème dans ce calendrier. Le président de l’UNC a notamment évoqué la pléthore de conditionnalités pour sa mise en œuvre. « L’opposition politique prend note que les 23 contraintes liées à l’organisation des élections, du reste irréaliste et incohérent, dont 18 relèvent de la responsabilité du Gouvernement et le reste du Président de la République et du Parlement », indique le document publié par les opposants.

A (re)Lire: Calendrier électoral en RDC: les défis et les contraintes

Vital Kamerhe s’est cependant réjoui que le calendrier électoral publié par la Ceni respecte la constitution au sujet de l’élection présidentielle. « Nous ne l’avons pas rejeté totalement parce que nous avons dit qu’il est global mais pas consensuel. Il respecte la constitution en ce qui concerne l’élection du président de la République », a-t-il affirmé, avant d’ajouter :

« Si la Ceni veut organiser de bonnes élections, pas pour les extra terrestres mais pour les gens qui sont là, c’est à dire nous, les politiciens, nous, de la société civile, la Ceni doit tenir compte de nos suggestions. Et c’est pour la première fois dans ce pays que l’opposition critique et propose. » Dans le calendrier électoral publié jeudi, la Ceni a notamment fixé l’élection présidentielle et les législatives en RDC au 27 novembre 2016, tout en rappelant qu’il existe plusieurs contraintes à l’organisation des élections globales dont le coût est estimé à plus d’un milliard de dollars américains.

Pour sa part, le gouvernement congolais affirme son engagement à apporter assistance à la Commission électorale nationale indépendante pour la matérialisation de ce calendrier électoral. Le porte-parole du gouvernement, Lambert Mende, n’a pas cependant précisé la hauteur de cette contribution.

Democratic Republic of the Congo: Sud-Kivu: 300 ex-enfants soldats apprennent les métiers à Kalehe

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Source: Radio Okapi
Country: Democratic Republic of the Congo

L’ONG BVES organise, depuis quelques jours, des formations en coupe couture, menuiserie et coiffure dame et homme pour environ 300 enfants sortis des groupes armés, en territoire de Kalehe (Sud-Kivu). Le chargé des programmes de cette structure, Germando Kagomba Barati, explique que ces formations sont organisées pour permettre à ces ex-enfants soldats de s’intégrer dans leurs communautés et de contribuer au développement de leurs milieux.

«Ils ont choisi d’apprendre la coupe-couture, la menuiserie, la coiffure dame et homme. La destinée est entre leurs mains car nous, nous ne donnons pas la vie mais juste un pas à la vie », a-t-il indiqué. Germando Kagomba a également souligné que ces formations sont recommandées par le programme Désarmement, démobilisation et réinsertion (DDR).

Il a invité les enfants qui trainent encore dans la rue et dans les groupes armés à se désolidariser afin de rejoindre leur centre de formation pour qu’ils soient utiles dans la société.

«La vie d’un enfant vaut mieux dans la famille que dans la brousse parce que les enfants c’est l’avenir donc le futur d’un pays », a poursuivi Germando Kagomba.

A l’occasion de la célébration de la journée internationale de lutte contre l’utilisation d’enfants soldats, célébrée le 12 février de chaque année, le Fonds des Nations unies pour l’enfance (Unicef) avait annoncé que près de 4 500 enfants sont sortis des forces et groupes armés en RDC en 2014. Depuis 2002, indique l’agence onusienne, ce sont au total 50 000 enfants sortis des forces et groupes armés qui ont été assistés. 80% d’entre eux sont du Nord et Sud-Kivu.

L’Unicef avait également appelé le gouvernement congolais et les partenaires financiers à investir les moyens nécessaires pour garantir une réintégration durable de tous les enfants sortis des forces et groupes armés.​

Democratic Republic of the Congo: République Démocratique du Congo : Journée Internationale de la Main Rouge – l'éducation comme alternative à l'embrigadement dans les groupes armés

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Source: Jesuit Refugee Service
Country: Democratic Republic of the Congo

Goma, le 12 février 2015 – «Je les ai rejoints car je n'avais rien d'autre à faire».

Trois anciens enfants soldats assis sur un banc face à leur ancien professeur, expliquent calmement pourquoi ils ont rejoint plusieurs groupes armés autour de leur village.

Pierre, Luc et Niye viennent d'un camp pour personnes déplacées (IDP) situé à Mweso, au Nord Kivu, en République Démocratique du Congo ( RDC). Sans travail et quasiment sans nourriture, dès l'âge de 8 ans certains jeunes quittent leurs familles à la recherche d'opportunités plus lucratives dans la brousse.

Le 12 février, à l'occasion de la Journée Internationale de la Main Rouge, la communauté internationale veut sensibiliser l'opinion publique aux souffrances des Enfants Soldats de par le monde. Le Service Jésuite des Réfugiés (JRS) se félicite des mesures prises par le gouvernement congolais pour mettre un terme au recrutement des enfants soldats, mais il y a encore beaucoup à faire en matière d'alternatives éducatives et socioéconomiques pour les enfants vivant dans les camps pour personnes déplacées.

Le fait de rejoindre un groupe armé offre beaucoup plus de possibilités que la vie dans les camps. Les recruteurs promettent aux enfants un statut social supérieur, des repas et une carrière, mais ce n'est qu'un leurre. De nombreux enfants n'ont actuellement rien de tout ça. Les personnes déplacées au Congo n'ont pas de terre à cultiver et peu d'opportunités en matière de travail. La nourriture est rare, et peu de familles peuvent subvenir aux besoins de tous leurs enfants.

«Ces enfants ne vivent pas leur enfance comme nous», a expliqué Elettra Pauletto, une analyste politique pour la République Démocratique du Congo qui a travaillé un an auprès d'anciens enfants soldats dans le Nord Kivu. «Leur enfance n'a rien à voir avec un temps d'insouciance et d'innocence. Nombreux sont ceux qui passent de longues heures à travailler de leurs mains, transportant de lourdes charges pour aider leurs familles à se nourrir. Les groupes armés représentent une alternative à cet esclavage.»

Pour empêcher les enfants de rejoindre les groupes armés, il faut leur offrir des opportunités pour un avenir meilleur. Pierre, Luc et Ninye sont tous rentrés pour suivre une formation professionnelle dans leurs villages respectifs. Ils espèrent approfondir la charpenterie afin de pouvoir gagner un peu d'argent et aider leurs familles.

Sœur Espérance, Coordinatrice du JRS pour l'éducation à Masisi, précise: «L'éducation et la formation professionnelle font partie intégrante de la vie des camps, car elles aident les enfants déplacés à se fondre dans les communautés d'accueil, et elles leur font prendre conscience qu'il y a d'autres moyens de gagner de l'argent, et d'autres façons de vivre.»

L'éducation, la formation professionnelle, et même les activités extrascolaires, aident à briser la monotonie de la vie dans les camps. Elles créent un espace où les communautés d'accueil et les personnes déplacées peuvent faire tomber les barrières sociales et promouvoir la compréhension.

Ceci dit de nombreux défis restent à relever. «Le JRS paie la moitié des frais de scolarité, mais de nombreux enfants ne peuvent pas payer l'autre partie. Sachant que les enfants qui vont à l'école ne peuvent pas chercher de la nourriture pour leurs familles. C'est un choix terrible», a déclaré Sœur Espérance. «Lorsque les enfants quittent l'école, je les visite personnellement. J'explique à leurs parents l'importance d'aller à l'école. Je leur dis ce qu'ils pourront faire grâce à l'éducation.»

L'éducation n'est pas la panacée. Les enfants vivant dans les camps pour personnes déplacées sont toujours confrontés à des défis majeurs, dont l'économie inexistante, la discrimination de la part des communautés d'accueil, et la violence cyclique. Et pourtant, la formation professionnelle, l'alphabétisation, et la rencontre entre enfants appartenant à des ethnies différentes représentent la première étape de la construction de communautés plus fortes capables de contrecarrer les propositions faites par les groupes armés.

Caitlin Hannahan, Responsable de la communication, Service Jésuite des Réfugiés Grands Lacs Afrique

South Sudan: UNHCR Factsheet - South Sudan January 2015

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Source: UN High Commissioner for Refugees
Country: Central African Republic, Democratic Republic of the Congo, Ethiopia, South Sudan

HIGHLIGHTS

  • 4,000 Sudanese new arrivals transported to Ajuong Thok

  • 4,000 Sudanese new arrivals transported to Ajuong Thok

  • 3,359 Shelters completed for refugees and host communities in Maban

  • 60 Trucks dispatched to Jonglei and Upper Nile for pre-positioning of NFI

Democratic Republic of the Congo: Kasaï-Oriental : les politiques appelés à s’impliquer dans la lutte contre le VIH/Sida

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Source: Radio Okapi
Country: Democratic Republic of the Congo

L’Onu-Sida appelle les députés et membres du gouvernement provincial du Kasaï-Oriental à s’impliquer dans la mobilisation des ressources pour renforcer la lutte contre le VIH/Sida dans cette province. Cette agence du système des Nations unies a lancé cet appel, vendredi 13 février, au cours d’une séance de renforcement des capacités sur cette pandémie, organisée par la Cellule parlementaire de lutte contre le Sida.

L’Onu/Sida affirme avoir lancé cet appel après avoir constaté le faible appui des partenaires aux activités de lutte contre le VIH Sida dans cette partie du pays.

«L’Onu/Sida vise, à l’horizon 2030, mettre fin à la pandémie de Sida. Il est temps que nous nous engageons au niveau local et les politiques doivent s’engager dans les activités de lutte contre le VIH/Sida ainsi que dans la mobilisation des ressources financières », a souligné le chargé de programme de l’ONU-Sida dans les deux Kasaï, docteur Thomas-Serge Batuli.

Il a indiqué qu’au Kasaï-Oriental, par exemple, la lutte contre le VIH dépend à plus de 80% de l’appui des bailleurs.

Lire aussi: Sida : la RDC compte 600 000 personnes infectées

C’est ce qui fait que beaucoup de zone s de santé ne soient pas appuyées dans un contexte de faible niveau d’intervention des partenaires.

«On ne pourra pas atteindre nos objectifs, si nous continuons dans cet élan. Nous avons fait des plaidoyers pour qu’une ligne budgétaire soit allouée au VIH et cela a été déjà validé. Nous devons continuer des plaidoyers soit effectivement décaissée pour améliorer les conditions des personnes vivants avec le VIH », a poursuivi Thomas-Serge Batuli.

Dix pourcent de la population sexuellement active s’était fait volontairement dépister, entre 2008 et 2013, au Kasaï-Oriental.

Ces chiffres avaient été livrés par le médecin coordonnateur provincial du Programme national de lutte contre le Sida (PNLS), Dr Welo, à l’occasion de la clôture des activités de lutte contre cette pandémie dans la province.


Democratic Republic of the Congo: Pweto : la Regideso inaugure une usine d’eau potable pour 100 000 habitants

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Source: Radio Okapi
Country: Democratic Republic of the Congo

La Regideso a inauguré jeudi 12 février une nouvelle usine de production d’eau potable dans la cité de Pweto au Katanga. Cette usine peut desservir une population estimée à 100 000 habitants. La cérémonie inaugurale a été présidée par le gouverneur du Katanga en présence de plusieurs notabilités de la province, à l’occasion de la commémoration de l’an 3 de la mort de feu l’ambassadeur Augustin Katumba Mwanke initiateur du projet.

La capacité de cette usine est de 160 mètres cubes par heure. Elle va desservir la population de la cité de Pweto et des villages environnants.

Les habitants de Pweto et des villages environnants se disent satisfaits de l’inauguration de cette usine.

Avant l’implantation de cette usine, la cité de Pweto était alimentée par l’eau de la Regideso mais à une faible capacité. Auparavant, l’eau qui coulait aux robinets provenait d’une rivière qu’on canalisait, puis traitée.

Central African Republic: Central African Republic Emergency Situation as of 6 February 2015

Democratic Republic of the Congo: Guide des bonnes pratiques n°10 : Une identité pour chaque enfant

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Source: UN Children's Fund
Country: Democratic Republic of the Congo

Pour ce 2ème numéro «Guide des bonnes pratiques » année 2015, la Division provinciale de l’Intérieur de Kinshasa appuyée par l’UNICEF arrive à réaliser des améliorations du taux d’enregistrement des naissances dans la ville de Kinshasa.

En République démocratique du Congo, l’enregistrement des naissances constitue l’un des défis majeurs de la protection de l’enfance : malgré son caractère obligatoire, on estime que seul un enfant congolais sur quatre (25%) serait effectivement enregistré à l’état civil, d’après les données de l’enquête démographique et de santé menée dans le pays en 2013.

L’enregistrement des naissances est pourtant capital: il permet notamment à l’enfant d’avoir une identité et une nationalité, de connaître ses origines et d’être protégé de toutes formes d’abus (mariage précoce, enrôlement dans les forces armées, travail forcé…).

Découvrez les expériences réussies qui ont conduit à booster le taux d’enregistrement des naissances dans la ville de Kinshasa par la Division provinciale de l’intérieur :

Democratic Republic of the Congo: Good Practices Guidelines No.10 – An identity for every child

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Source: UN Children's Fund
Country: Democratic Republic of the Congo

For the second number of “Good Practices Guide” 2015, the civil registration services in Kinshasa thanks to UNICEF improves significantly the rates of birth registration in Kinshasa.

In the Democratic Republic of the Congo, birth registration is one of the major child protection issues:

Despite its mandatory nature, it is estimated that only a Congolese child in four (25%) is registered within the civil registry (data of the 2013 demographic and health survey).

Yet, birth registration is capital: it grants children an identity and a nationality; children can know their origins; it is the first step to protect them from all forms of abuse (early marriage, recruitment into the armed forces).

Discover all the secrets that enabled the civil registration services of Kinshasa to boost the rates of birth registration:

Kenya: Kenya: Registered refugees and asylum-seekers (as of 01 February 2015)

Nigeria: Central African leaders talk strategy against Boko Haram

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Source: Agence France-Presse
Country: Angola, Burundi, Cameroon, Central African Republic, Chad, Congo, Democratic Republic of the Congo, Equatorial Guinea, Gabon, Niger, Nigeria, Sao Tome and Principe

Yaoundé, Cameroon | Monday 2/16/2015 - 11:09 GMT

Leaders of central African nations on Monday began talks in Cameroon's capital Yaounde to devise a joint strategy to tackle Nigeria's armed Islamic group Boko Haram, officials said.

Six heads of state attended the meeting that began at 10:00 am (0900 GMT) under the auspices of the Economic Community of Central African States (ECCAS), while four other countries sent delegates.

Apart from Cameroon and Chad, most countries taking part have not been directly affected by the bloody jihadist insurgency, which is estimated to have claimed 13,000 lives since the Boko Haram sect launched its uprising in 2009.

Nigeria, where elections have been postponed by six weeks until late March mainly because of Boko Haram activity in swathes of the northeast, was absent from the talks since it is not an ECCAS member.

The aim of Monday's discussion was to come up with "an agreed solution" concerning the fight against the extremists, a source close to the Cameroonian government told AFP.

Presidents Paul Biya of Cameroon, Catherine Samba Panza of the Central African Republic, Idriss Deby Itno of Chad, Denis Sassou Nguesso of the Republic of Congo, Teodoro Obiang Nguema of Equatorial Guinea and Ali Bongo Ondimba of Gabon were gathered in Yaounde.

Angola, Burundi, the Democratic Republic of Congo and Sao Tome and Principe were represented by government ministers.

After previous talks in Yaounde, Nigeria's immediate neighbours, Cameroon, Chad, Niger and small Benin announced on February 7 that they would mobilise a regional force of 8,700 men to fight Boko Haram.

The sect has since taken the fight inside Chad, which has already deployed troops on two fronts in Niger and Nigeria, and Boko Haram has also kept up cross-border activity in Cameroon and Niger.

Operational plans for the regional force have yet to be submitted to the Peace and Security Council of the African Union "for approval and sending on to the United Nations Security Council", according to a statement released after the regional talks.

str/cl/nb/ccr

© 1994-2015 Agence France-Presse

Democratic Republic of the Congo: Rapport sur la situation des mouvements de population au Nord-Kivu, janvier 2015

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Source: UN Office for the Coordination of Humanitarian Affairs
Country: Democratic Republic of the Congo

I. Rétrospective année 2014

La situation des mouvements de population au Nord-Kivu a évolué de façon intermittente depuis janvier à novembre 2014. La velléité des groupes armés nationaux (APCLS, NDC, Nyatura, Raiya Mutomboki etc.) et étrangers (FDLR et ADF) a littéralement exacerbée l’insécurité étendue dans plusieurs territoires de la province du Nord-Kivu, occasionnant en 2014, des nouveaux déplacements. Les graphiques ci-dessous, illustrent en province, l’évolution de la situation des déplacements de population l’année écoulée.


Democratic Republic of the Congo: Kisangani : la MONUSCO réhabilite les cachots du groupement mobile d’intervention

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Source: UN Organization Stabilization Mission in the Democratic Republic of the Congo
Country: Democratic Republic of the Congo

La MONUSCO, par le biais de sa composante police en partenariat avec la Police Nationale Congolaise (PNC), réhabilite les cachots du Groupement Mobile d’Intervention de Kisangani Ouest dans la Commune de la Tshopo. La réhabilitation entre dans le cadre des projets à impact rapide et répond à des aspects majeurs du mandat de la MONUSCO à savoir la protection des populations civiles et le renforcement des capacités de la police nationale congolaise. La protection passe par la garantie de la sécurité des citoyens et lorsque ces derniers sont lésés ou victimes de certaines atteintes, l’Etat doit leur garantir un accès libre et équitable à la justice.

Cette dernière commence au niveau de la police par la constatation des infractions, le rassemblement des preuves, l’interpellation des auteurs et leur présentation au parquet afin qu’ils répondent de leurs actes conformément aux lois en vigueur. L’insuffisance quantitative et qualitative des cachots et autres lieux de détention fait que des personnes arrêtées peuvent avec une certaine complicité se retrouver parmi les populations narguant le plus souvent leurs victimes et les autorités judiciaires. Des situations souvent interprétées par le commun du mortel comme des actes de complicité des forces de police avec les auteurs de crimes.

C’est donc dans le but de contribuer à la lutte contre l’impunité d’une part, et améliorer d’autre part les conditions de détention des mis en cause mais également de travail de la PNC que la MONUSCO a décidé d’apporter cette contribution à travers ce projet à impact rapide d’un coût total de 29 000 dollars américains et dont les travaux devraient se réaliser dans l’intervalle de trois mois. Il s’agit de réhabiliter deux salles utilisées comme lieu de détention, deux locaux qui serviront de bureaux et du reconditionnement des installations sanitaires. Les travaux sont exécutés par une ONGD locale le Regroupement des Bâtisseurs pour la Protection de l’Environnement (RBPE en sigle).

La cérémonie officielle du lancement des travaux a été présidée par le chef de bureau ai de la MONUSCO-Kisangani, Germain KABRAN, en présence des chefs de différentes Sections substantives de la MONUSCO, des autorités politico-administratives et judiciaires locales. M. KABRAN a, dans son mot de circonstance, demandé au chargé de l’exécution des travaux de respecter le cahier de charge dans les délais prescrits.

Pour sa part, le Commissaire Provincial adjoint de la PNC, M. Eddy Kapend a remercié la MONUSCO pour l’appui technique et logistique qu’elle apporte au gouvernement provincial dans le renforcement des capacités des agents et cadres de la Police Nationale Congolaise.

Democratic Republic of the Congo: Kinshasa: plaidoyer pour un consensus autour du calendrier électoral

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Source: Radio Okapi
Country: Democratic Republic of the Congo

Le Groupe de travail sur les élections (GTE) plaide pour un consensus politique autour du calendrier électoral global, publié le 12 février par la Commission électorale nationale indépendante (Ceni). Cette structure a fait cet appel dans un document rendu public, dimanche 15 février, à Kinshasa.

Dans ce document, le GTE préconise la tenue d’un dialogue politique entre les partenaires engagés au processus électoral en cours.

Cette structure propose que cette rencontre puisse plancher sur le budget des élections, le chronogramme du processus électoral et le délai accorde à la réalisation des quatre échéances électorales.

Pour le GTE, le budget des élections, évalué à plus d’un milliards de dollars américains, devra être discuté afin de le rapprocher à la réalité congolaise.

A propos du chronogramme, le document parle de manque d’assurances sur la tenue du scrutin présidentiel, fixé au 27 novembre 2016.

Selon le document, la Ceni doit donner des assurances sur la tenue de ce scrutin à cette date, sauf force majeur.

le GTE juge le délai de 24 mois comme “objectivement irréaliste pour les cinq échéances électorales”. La Ceni a annoncé cinq scrutins qui devraient être organisés en 12 mois, soit à partir du mois d’octobre 2015 jusqu’au mois de novembre 2016. L’élection présidentielle couplée aux législatives interviendra le 27 novembre 2016.

Le week-end dernier, le député de l’opposition et président d’Envol, Delly Sessanga, avait également estimé que le consensus n’a pas été recherché dans l’élaboration du calendrier électoral.

Democratic Republic of the Congo: RDC : la Monusco peut mener ses propres opérations contre les groupes armés, estime Mende

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Source: Radio Okapi
Country: Democratic Republic of the Congo

La Monusco peut mener seule ses propres opérations sans les Forces armées de la RDC contre tous les groupes armés qui écument le pays, a affirmé lundi 16 février le porte-parole du gouvernement, Lambert Mende. « Cela fait partie de son mandat », a-t-il ajouté au cours d’une conférence de presse organisée à Kinshasa. Le chef de l’Etat, Joseph Kabila, a annoncé la veille que son pays renonçait à tout soutien de la Mission onusienne en RDC dans la traque contre les rebelles rwandais des FDLR. Une opération qui a été lancée le 29 janvier dernier.

« Nous avons un partenaire, la Monusco qui est avec nous. Il y a une gestion de cette opération de désarmement que nous voulions commune avec elle. Gestion que nous avons trouvée malencontreuse et en tout cas décrédibilisant pour la RDC et c’est ce qui a poussé le président de la RDC à dire : je renonce à cette collaboration pour le désarmement des FDLR », a déclaré Lambert Mende.

Le porte-parole du gouvernement a expliqué que cette décision ne concerne que la collaboration entre les FARDC et la Monusco dans les opérations contre les FDLR.

« N’allons pas plus loin, je pense que c’est ça la décision. Il ne s’agit pas d’autres opérations. Il ne s’agit pas d’autres tâches qui ont été confiées à cette mission et encore que la résolution du conseil de sécurité des Nations unies donne mandat à la mission onusienne de traquer, de désarmer les groupes armés avec ou sans les forces de défense et de sécurité de la RDC », a-t-il poursuivi. Pour Lambert Mende, la Monusco peut désarmer ces groupes armés « si elle est vraiment venue pour ça ».

« Donc s’il y a une logique, puisque la RDC veut le faire sans [la Monusco], on devrait assister à une initiative de la Monusco, de désarmer aussi ces gens. Il y a moyen de faire [le désarmement] sans les FARDC si on est vraiment venu ici pour cela », a indiqué le porte-parole du gouvernement congolais.

La Monusco salue l’engagement de la RDC

La Monusco salue l’engagement ferme du gouvernement de la RDC à prendre seul en main la neutralisation des FDLR, tel que décidé hier par le chef de l’Etat Joseph Kabila. Le porte-parole intérimaire de la Mission onusienne, Charles Bambara, l’a déclaré lundi 16 février.

« Nous saluons l’engagement ferme du gouvernement à prendre en mains la neutralisation des FDLR. La Monusco de son côté continuera à collaborer étroitement avec le gouvernement congolais pour s’acquitter du mandat que lui a confié le conseil de sécurité », a affirmé Charles Bambara.

Selon lui, la Monusco devra continuer à appuyer les FARDC dans d’autres opérations militaires contre les forces négatives dans l’Est de la RDC.

« Le gouvernement par la voie du président a bien précisé que pour les opérations des FDLR, nous voulons mener cette opération seule. Mais pour les autres opérations et nous savons qu’il y a d’autres opérations toujours dans cette même province du Nord-Kivu, dans la zone de Beni, il y a aussi au Sud-Kivu, au Katanga et ailleurs », a ajouté Charles Bambara.

Pour lui, La Monusco va également continuer à assumer d’autres missions qui lui sont confiées par le conseil de sécurité au de-là des opérations de traque des FDLRS.

« Au-delà de ces opérations militaires, il y a d’autres missions transmises par le Conseil de sécurité à la Monusco autour des élections et à la bonne gouvernance. Nous allons continuer sur l’ensemble de ce chapitre main dans la main avec le gouvernement », a poursuivi Charles Bambara.

Democratic Republic of the Congo: Prier avec les réfugiés en République Démocratique du Congo: l'éducation comme espoir

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Source: Jesuit Refugee Service
Country: Democratic Republic of the Congo

Kashunga, 16 février 2015 – La blouse blanche de Maombi brille au soleil du matin à Kashunga. Elle rayonne de fierté dans son nouvel uniforme scolaire - elle va entrer à l'école secondaire après être restée deux ans à la maison.

Maombi est l'une des 2,7 millions de personnes déplacées qui vivent en République Démocratique du Congo. Sa famille et elle-même ont fui de chez eux suite aux attaques d'un des innombrables groupes armés dans la région. Ayant tout laissé derrière elle, la famille de Maombi n'avait que peu de possibilités économiques pour tout recommencer.

A cause des frais de scolarité pour l'école secondaire, seulement les frères de Maombi, au début, ont pu aller à l'école. Sa mère et son père n'avaient pas assez d'argent et estimaient que l'éducation des garçons était un investissement plus sage. Maintenant, au bout de deux ans, la famille est plus ou moins établie, et Maombi peut commencer l'école secondaire.

Grandir sans éducation régulière est le sort de beaucoup d'enfants déplacés au Nord Kivu. Un grand nombre de familles ne peuvent pas se permettre des frais de scolarité, d'autres peuvent les payer mais ne peuvent pas se permettre les uniformes et le matériel scolaire. Dans d'autres familles encore, les enfants doivent travailler pour avoir un meilleur niveau de vie. Les orphelins et les enfants non accompagnés doivent souvent subvenir à leurs propres frais et même à ceux de leurs frères et sœurs plus jeunes. Dans d'autres cas, des groupes armés ont détruit les bâtiments scolaires et les enfants n'ont pas d'endroits sûrs pour les leçons.

Pour quelque raison que ce soit, l'éducation est un droit fondamental, et est absolument nécessaire en vue d'un avenir plein d'espoir.

Pour Maombi, c'est aussi simple et fondamental que ceci: «L'éducation me donne de l'espoir d'un meilleur avenir au-delà du camp.»

En manifestant une dernière fois encore son appréciation pour son nouvel uniforme, Maombi entre dans la classe pour un futur plus lumineux.

Democratic Republic of the Congo: Praying with refugees in the Democratic Republic of Congo: education as hope

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Source: Jesuit Refugee Service
Country: Democratic Republic of the Congo

Kashunga, 16 February 2015 – Moambi's white blouse gleams bright in the morning sun of Kashuga. She beams with pride in her new school uniform – she gets to attend high school after two years of staying at home.

Maombi is one of the more than 2.7 million internally displaced persons living in the Democratic Republic of Congo. She and her family fled their homes due to attacks from one of the countless armed groups operating in the region. Having left all behind, Maombi's family had very little resources to start over.

High school fees meant that only Maombi's brothers could attend school at first. Her mother and father had no money and felt that educating boys was a wiser investment. Now after two years, the family is more and less established and Maombi can begin secondary school.

Growing up without consistent education is the fate for many displaced children in North Kivu, where JRS works. The reasons are manifold. Many families cannot afford the school fees, whereas others can afford to pay but do not have enough money for school uniforms or supplies. In other families, the children have to work to keep the everyone afloat. Orphans and unaccompanied children often have to support themselves or their younger siblings. In other cases, armed groups have destroyed school buildings and children lack safe spaces to learn.

No matter the reason, education is a fundamental right and absolutely necessary for a hopeful future.

For Maombi it is as simple and fundamental as this: "education gives me hope of a better future beyond the camp."

With one last appraisal of her new uniform, Maombi enters the class rooms towards a brighter future.

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