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Channel: ReliefWeb - Updates on Democratic Republic of the Congo
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World: Global Humanitarian Overview for 2015 [EN/AR]

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Source: Government of the United Arab Emirates
Country: Afghanistan, Burkina Faso, Cameroon, Central African Republic, Chad, Democratic Republic of the Congo, Djibouti, Gambia, Iraq, Libya, Mali, Mauritania, Myanmar, Niger, Nigeria, occupied Palestinian territory, Senegal, Somalia, South Sudan, Sudan, Syrian Arab Republic, Ukraine, World, Yemen


World: Global Emergency Overview Snapshot Snapshot 4–10 March 2015

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Source: Assessment Capacities Project
Country: Afghanistan, Bolivia (Plurinational State of), Burundi, Cameroon, Central African Republic, Chad, Colombia, Democratic People's Republic of Korea, Democratic Republic of the Congo, Djibouti, Eritrea, Ethiopia, Gambia, Guatemala, Guinea, Haiti, Honduras, India, Iraq, Jordan, Kenya, Lebanon, Liberia, Libya, Malawi, Mali, Mauritania, Myanmar, Nicaragua, Niger, Nigeria, occupied Palestinian territory, Pakistan, Philippines, Senegal, Sierra Leone, Somalia, South Sudan, Sri Lanka, Sudan, Syrian Arab Republic, Uganda, Ukraine, World, Yemen

Iraq: 26,000 people have fled fighting between Islamic State and Iraqi security forces in Tikrit for Samarra. Food, shelter, health and WASH needs are priorities. More than 100 families have arrived in Al Dour, located between Tikrit and Samarra, and thousands have fled to central and southern governorates.

South Sudan: Heavy fighting between government and opposition was reported in Upper Nile state, and government troops took control of Wadakona town. Many civilians are reported trapped. Peace talks have collapsed.

Nigeria: Boko Haram-related violence has caused over 4,000 deaths in Borno state alone since the beginning of 2015. 5.6 million people are in need of humanitarian assistance.

Global Emergency Overview Web Interface

Democratic Republic of the Congo: La journée de la femme, à Sange, dans le recueillement

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Source: UN Organization Stabilization Mission in the Democratic Republic of the Congo
Country: Democratic Republic of the Congo

Uvira, le 9 mars 2015 : A la demande des autorités nationales congolaises, les activités marquant la célébration de la Journée internationale de la Femme (8 mars) ont été organisées le samedi 7 mars. Dans le territoire d’Uvira, c’est à Sange à une trentaine de kilomètres d’Uvira que tous les regards étaient tournés, avec l’organisation d’un concert religieux initié et appuyé par la Mission des Nations Unies pour la Stabilisation en RDC (MONUSCO). Un concert pour la paix, dans cette partie du territoire du pays en proie à des conflits interethniques, qui se soldent parfois par des morts d’hommes et des déplacements massifs de populations.

Il s’agissait aussi, pour les organisateurs, de présenter officiellement les condoléances aux femmes déplacées de Mutarule (suite aux massacres de l’année dernière). Dans son adresse aux participantes, un représentant de la MONUSCO/Uvira a invité les femmes vivant dans ce territoire en général et celles de la Plaine de la Ruzizi en particulier à croire en elles et à accepter d’être accompagnées par les autorités locales et les partenaires de la Mission onusienne à travers un dialogue mutuel. Il a par ailleurs appelé à leur implication dans les activités de consolidation de la paix.

Jean-Tobie Okala

Uganda: Uganda Humanitarian Situation Report, February 20 2015

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Source: UN Children's Fund
Country: Democratic Republic of the Congo, South Sudan, Uganda

Highlights

  • UNICEF and partners continue to support over 140,462 South Sudanese refugees of which 87 per cent are women and children in the districts of Arua, Adjumani and Kiryandongo.

  • UNICEF working with the Government of Uganda carried out an integrated nutrition screening through expanded programme on immunization outreach points and enrolled 2,254 children in refugee settlements into therapeutic feeding programs.

  • UNICEF and partners have supported 46,000 refugee and host community women, men and children with clean water for households needs.

  • A total of 2,195 separated children have been registered and provided foster or alternative care services using a Rapid Family Tracing and Re-unification (RAPID FTR) tool.

  • UNICEF is supporting Government of Uganda to respond to a Typhoid fever outbreak in Kampala with over 100 cases.

Situation in Numbers

Refugees & Asylum Seekers:

274,582 # of children affected (UNHCR Jan 2015)
367,518 # of women and children affected (UNHCR Jan 2015)
422,435 # of refugees and asylum seekers affected (UNHCR Jan 2015)

Democratic Republic of the Congo: RDC : 12 blessés graves dans l'attaque d'un camp de déplacés

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Source: Agence France-Presse
Country: Democratic Republic of the Congo

Bunia, RD Congo | | mardi 10/03/2015 - 20:40 GMT

Douze personnes ont été grièvement blessées dans l'attaque d'un camp de déplacés par une milice dans le nord-est de la République démocratique du Congo (RDC), a-t-on appris mardi de sources locales.

L'attaque, survenue dans la nuit de dimanche à lundi à Lagabo, en Province orientale dans le district de l'Ituri, frontalier de l'Ouganda, a suscité de nouveaux appels aux Forces armées de la RDC (FARDC) et aux Casques bleus de la Mission de l'ONU au Congo (Monusco) pour qu'ils assurent la protection des civils.

"Une centaine de miliciens FRPI (Forces révolutionnaires patriotiques de l'Ituri, ndlr) ont fait une incursion dans le camp de déplacés de Lagabo", à une trentaine de kilomètres au sud de Bunia, la capitale de l'Ituri, a déclaré à l'AFP le porte-parole des déplacés, Norbert Longa.

"Armés de fusils et de machettes", les assaillants "ont grièvement blessé douze personnes", violé une femme et pillé pendant plusieurs heures, a ajouté M. Longa, affirmant que "les éléments FARDC postés à proximité du site", qui accueille selon lui 5.000 personnes, "n'ont pas voulu intervenir".

Alexandre Peke Kaliaki, chef de la collectivité de Walendu-Bindi, qui englobe Lagabo, a confirmé les propos de M. Longa.

"Je demande le renforcement des effectifs [militaires et policiers] dans toute la contrée" pour lutter contre les FRPI, dont les attaques récurrentes sont "un frein au développement", a-t-il dit à l'AFP.

La situation dans le sud de l'Ituri "reste critique", a indiqué à l'AFP Maurizio Giuliano, chef du Bureau de coordination des affaires humanitaires de l'ONU (OCHA) pour la Province orientale. "Nous assistons à des actions de guérilla incessantes, avec des attaques fréquentes des parties belligérantes contre la population civile, marquées de manière caractéristique par une violence extrême".

"Nous espérons que l’État congolais et la Monusco seront capables d'intensifier leurs efforts en vue de mettre fin à toutes les violences contre les civils [...] quels qu'en soient les auteurs", a ajouté M. Giuliano, basé à Bunia.

La Monusco avait déploré en février une recrudescence des violences dans le sud de l'Ituri commises notamment par les FRPI, l'une des nombreuses milices qui se sont affrontées en Ituri de 1999 à 2007 sur des bases essentiellement ethniques pour le partage des richesses naturelles de la région (au premier rang desquelles l'or).

Plusieurs milliers de combattants du groupe avaient été démobilisés et intégrés à l'armée congolaise de 2004 à 2006, mais la milice s'est reformée à partir de la fin 2007.

L'est de la RDC, où s'active une cinquantaine de milices, est déchiré par des conflits depuis plus de vingt ans. L'armée et la Monusco (forte de près de 20.000 Casques bleus) sont régulièrement accusées de passivité face à la violence qui gangrène la région, en dépit des efforts internationaux déployés depuis des années pour tenter de la stabiliser.

Dans un rapport publié vendredi, l'organisation humanitaire internationale Oxfam relève que les atteintes aux droits de l'Homme restent "monnaie courante" dans l'est de la RDC du fait d'exactions commises contre les civils par des groupes armés et des membres des forces de l'ordre.

str/mj/ahu

© 1994-2015 Agence France-Presse

Democratic Republic of the Congo: RDC : 7,3 millions d’enfants âgés de 5 à 17 ans ne fréquentent pas l’école

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Source: Radio Okapi
Country: Democratic Republic of the Congo

En République démocratique du Congo (RDC), 7,3 millions d’enfants âgés de 5 à 17 ans (28% de la population scolarisable) ne fréquentent pas l’école. Ce chiffre a été révélé au cours du forum organisé à Kinshasa depuis le début de la semaine sur l’éducation nationale. Des acteurs de l’éducation nationale évaluent les progrès réalisés par la RDC pour atteindre les objectifs du millénaire en matière d’éducation.

L’objectif du millénaire numéro 2 enjoint les Etats à assurer l’éducation primaire pour tous. Ces pays devaient donner à tous les enfants, garçons et filles, partout dans le monde, les moyens d’achever un cycle complet d’études primaires d’ici 2015.

Au cours du forum organisé à Kinshasa par la Coalition nationale de l’éducation pour tous (Conept)-RDC, avec l’appui d’Osisa, les participants, issus des organisations nationales, provinciales et internationales de la société civile, ont noté que 28% de la population scolarisable ne fréquente pas l’école en RDC.

Autre chiffre présenté au cours de ces assises : 16,5% des dépenses courantes de l’Etat sont allouées à l’éducation nationale au lieu des 25% requis pour atteindre les objectifs de l’éducation pour tous.

Les participants à ce forum de la société civile ont cependant salué les progrès réalisés par la RDC dans l’éducation des enfants.

« Le fait que le gouvernement de façon croissante est en train d’améliorer sa dotation budgétaire sur l’éducation, c’est une très bonne chose. Le fait également qu’il se soit lancé dans un vaste projet de construction d’écoles pour essayer de rapprocher l’école de l’écolier, c’est aussi une excellente chose encore », a déclaré Nick Elebe, représentant d’Osisa en RDC.

Le gouvernement est encouragé à faire des efforts dans les domaines comme l’alphabétisation et la scolarisation des filles.

« Le taux de préscolarisation est encore de 4,4%, et au niveau de la scolarisation primaire la gratuité n’est pas encore effective. Quand nous allons au niveau de l’alphabétisation, nous n’avons pas encore assis des structures pour alphabétiser les adultes. Aujourd’hui la question de l’équité des sexes dans l’éducation souffre encore », a fait savoir Jacques Tshimbalanga, coordonnateur la Coalition nationale de l’éducation pour tous.

Democratic Republic of the Congo: Equateur : 32 enfants meurent d’anémie à Ikotola

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Source: Radio Okapi
Country: Democratic Republic of the Congo

L’Unicef signale le décès de trente-deux enfants à Ikotola dans le district de la Tshuapa en Equateur entre janvier et février. Ils souffraient d’anémie due au paludisme. Ces enfants seraient sont morts à cause du manque de médicaments pour leur prise en charge.

La localité Ikotola est quelque éloignée du centre de santé de référence d’Isangani où la plupart des parents de la région font soigner leurs enfants.

Pour faire face à cette situation, l’Unicef, qui dispose à Boende d’une équipe de surveillance déployée dans la province sanitaire de la Tshuapa pendant l’épidémie d’Ebola, a dépêché à Ikotola une mission d’évaluation de la situation avec du matériel pour prendre en charge les cas de paludisme.

Democratic Republic of the Congo: Sud-Kivu: plus de 5 000 déplacés fuient l’opération militaire contre les FDLR à Uvira

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Source: Radio Okapi
Country: Democratic Republic of the Congo

Plus de 5 000 déplacés vivent en situation difficile dans le Haut plateau d’Uvira et de Mwenga au Sud-Kivu. Le porte-parole de la société civile du Haut et Moyen plateau d’Uvira, Joël Muterekwa, qui a livré ce chiffre à la presse mardi 10 mars indique que ces personnes fuient les opérations menées par l’armée congolaise contre les rebelles rwandais des FDLR dans la forêt d’Itombwe. Le commandant du 42e bataillon des FARDC confirme le déplacement des habitants de cette zone.

Ces déplacés proviennent de plusieurs localités situées à une centaine de kilomètres de Bukavu. « La population des Hauts plateaux d’Itombwe qui a fui les opérations lancées par les FARDC contre les FDLR et les FNL à Mugutu et Ruhumba ont fui dans la brousse des forêts d’Itombwe. Les déplacés n’ont pas accès à la nourriture. Ils n’ont pas accès aux soins de santé », déplore Joël Muterekwa. La même source indique que les rebelles rwandais volent les stocks de denrées alimentaires laissées par les habitants qui ont fui leurs localités.

L’armée congolaise a lancé le 24 février dernier une offensive contre les rebelles rwandais des FDLR à Uvira. Une opération similaire est également menée au Nord-Kivu pour traquer ces combattants rwandais.


Botswana: SADC Climate Services Centre - Outlook for March-April-May 2015 Issue no.13

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Source: Southern African Development Community
Country: Angola, Botswana, Democratic Republic of the Congo, Lesotho, Madagascar, Malawi, Mauritius, Mozambique, Namibia, Seychelles, South Africa, United Republic of Tanzania, Zambia, Zimbabwe

DECEMBER 2014– FEBRUARY 2015 RAINFALL HIGHLIGHTS

•The austral summer monsoon continues to be very active over Indian Ocean and in the vicinity of eastern parts of continental SADC.

•The region received: normal rainfall conditions over the easternmost parts of contiguous SADC mostly covered by Botswana, Madagascar, Malawi, Mozambique, Zambia and Zimbabwe.

•Significant drier-than-normal conditions continued to occur over the western and southern parts of conterminous SADC.

•During February, very dry conditions were observed over the bulk of the continental parts of region.

•Island States, particularly Madagascar were experiencing wetter-than-normal conditions.

Central African Republic: UNHCR Regional Update #51 - Central African Republic Situation, 21 February - 6 March 2015

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Source: UN High Commissioner for Refugees
Country: Cameroon, Central African Republic, Chad, Congo, Democratic Republic of the Congo

HIGHLIGHTS

  • Members of the United Nations Security Council will undertake a mission to the Central African Republic (CAR) from 10-12 March. This will be the Council’s first visit to the country, six months after the deployment of the UN Multidimensional Integrated Stabilization Mission in the CAR (MINUSCA) in September 2014. The mission will try to seek a better understanding of the challenges facing MINUSCA in carrying out its mandate. Members will meet with the transitional authorities and religious leaders to discuss the political process and assess the humanitarian and human rights situations.

  • The United Nations Secretary-General's Special Representative and Head of MINUSCA in CAR, Babacar Gaye, undertook a mission to Bossangoa during the reporting period in order to assess the overall security situation in the area. Mr. Gaye reiterated the United Nations commitment to continue supporting the peace process and restoration of state authority. A number of administrative authorities have progressively resumed duty in Bossangoa.

KEY FIGURES

436,256 IDPs including

49,113 in Bangui in 35 sites

451,429 Central African refugees in Cameroon, Chad, DRC and Congo including

191,616 New arrivals since Dec. 2013

8,103 Refugees and asylum seekers in the Central African Republic

Central African Republic: Central African Republic Emergency Situation as of 8 March 2015

Democratic Republic of the Congo: RDC - Province du Nord-Kivu: Personnes en situation de déplacement interne (au 25 février 2015)

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Source: UN Office for the Coordination of Humanitarian Affairs
Country: Democratic Republic of the Congo

Democratic Republic of the Congo: RDC: Rapport sur les mouvements de populations en province du Nord-Kivu (février 2015)

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Source: UN Office for the Coordination of Humanitarian Affairs
Country: Democratic Republic of the Congo

DEPLACEMENTS: Le Nord-Kivu connait depuis le début de cette année (2015), une évolution progressive des mouvements de population comparativement à l’effectif cumulé consolidé au dernier trimestre 2014. Le contexte observé depuis le deux derniers mois (janvier et février 2015), reste à l’origine des nouveaux déplacements de population. Au 25 février 2015, la province compte près de 941 999 personnes en terme d’effectif cumulé depuis 2009, soit 3182 personnes de plus (0,41%) par rapport aux résultats cumulés du mois de janvier dernier. Cette augmentation s’explique essentiellement par les facteurs ci-après:

  1. Mise à jour des statistiques de personnes anciennement déplacées grâce aux missions d’évaluations multisectorielles du programme de Réponse rapide aux mouvements de population (RRMP) effectuées dans les Territoires de Beni et Lubero,

  2. Nouveaux déplacements (41 763 personnes) au sein de la province, dans les territoires de Beni, Lubero, Masisi, Rutshuru et Walikale, suite à la détérioration du climat sécuritaire occasionnée par les événements ci-dessous:

Affrontements qui ont opposé les Forces Démocratique pour la libération du Rwanda (FDLR) au groupe Mayi Mayi Simba à Pangoyi, Mabutue, Camp libération en Province Orientale Retrait des militaires des Forces Armées de la République Démocratique du Congo (FARDC) dans le sud et nord-ouest de Masisi centre, notamment dans certaines localités du secteur de Katoyi et des groupements Buabo et Banyungu Affrontements entre les FARDC et les éléments Raia Mutomboki à Kabunga et Itebero au sud de Walikale.

Democratic Republic of the Congo: Bulletin d'Information Humanitaire - Province du Nord-Kivu N°07, 11 mars 2015

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Source: UN Office for the Coordination of Humanitarian Affairs
Country: Democratic Republic of the Congo

Faits saillants

  • Plus de 111 000 enfants vaccinés contre la rougeole au nord de Beni.

  • Plus de 5 500 nouveaux déplacés dans le Territoire de Beni.

  • Taux de malnutrition aigüe globale de 13% dans la localité de Katanga, en Territoire de Lubero.

Aperçu de la situation

La situation au Nord-Kivu reste marquée par l’activisme des groupes armés dans le Territoire de Lubero et des opérations militaires contre les Forces démocratiques pour la libération du Rwanda (FDLR) dans la zone de Kitchanga (Territoire de Masisi). La conséquence immédiate est le départ des civils de ces endroits.

Dans le Territoire de Lubero, environ 2 000 personnes des localités de Luhanga et de Kalevya ont été affectés par des affrontements entre groupes armés. En effet, la majorité des habitants de Luhanga et des localités environnantes, villages situés à près de 25 km de Luofu, au sud-ouest de Lubero, estimés à environ 1 000 personnes se seraient déplacés vers la brousse et villages tels Kasiki et Mbwivinwa à la suite de l’attaque des éléments présumés du groupe armé Nduma Defence of Congo (NDC) contre une position de Ralliement pour l’unité et la démocratie (RUD), une faction dissidente des FDLR. Cette attaque est survenue dans la nuit du 6 au 7 mars. À la veille de cet incident, plusieurs personnes du village de Kalevya situé à côté de Luhanga auraient été enlevées par des éléments du groupe armé RUD après une incursion qui aurait été menée par les présumés éléments de NDC.

Dans la zone de Kitchanga (Territoire de Masisi), une partie des déplacés du site de Bibwe, estimés à près de 3 780 personnes, se sont enfuis vers la brousse et d’autres villages à la suite de l’attaque contre des positions FDLR de cette localité par les FARDC, le 6 mars.

L’ONG internationale Welthungerhilfe (WHH) estime que 1 155 ménages, qui ont fui leurs villages dans la zone de Beni-Erigeti, Kamango et Mamundioma suite la série de tueries dans le nord de Beni en octobre 2024, vivent actuellement dans les localités de Bulongo, Kasindi, et Lume. Les besoins prioritaires en articles ménagers essentiels (AME) / abris, vivres d’urgences et en soins de santé ont été exprimés par ces déplacés.

Democratic Republic of the Congo: Katanga: plus de 10 morts après l’attaque des miliciens au village Kinsukulu

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Source: Radio Okapi
Country: Democratic Republic of the Congo

Un groupe de miliciens pygmées a attaqué dimanche 8 mars le village bantou de Kinsukulu situé à 135 km à l’ouest de Kalemie.

Des habitants, qui se sont refugiés dans le secteur de Kalemie, rapportent que l’attaque des miliciens a fait douze morts et plusieurs blessés dans le village de Kinsukulu.

Deux des personnes blessées ont été conduites en urgence dans le centre de santé de Nyemba. Les autorités du district se disent préoccupées; alors que la Monusco envisage l’envoi d’une mission d’évaluation de la situation dans la zone.​


Democratic Republic of the Congo: Les relations entre la RDC et l'ONU dans une mauvaise passe (Monusco)

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Source: Agence France-Presse
Country: Democratic Republic of the Congo

Kinshasa, RD Congo | | mercredi 11/03/2015 - 22:52 GMT

Les relations entre le gouvernement de la République démocratique du Congo et l'ONU traversent une mauvaise passe, a reconnu mercredi le chef de la Mission des Nations unies en RDC (Monusco), des sources diplomatiques faisant état d'une rupture totale de la coopération entre les Casques bleus et l'armée congolaise.

"Les relations entre la Monusco et le gouvernement, mais aussi le président de la République [Joseph Kabila, NDLR], c'est un moment difficile, c'est tendu", a déclaré M. Martin Kobler au cours d'une conférence de presse à Kinshasa, à huit jours de l'ouverture des discussions au sein du Conseil de sécurité - comme chaque année à la même époque - en vue du renouvellement du mandat de la Mission, qui s'achève le 31 mars.

En raison d'un désaccord entre la Monusco et les autorités, les Casques bleus ne prennent pas part à l'offensive contre les rebelles hutu rwandais dans l'est de la RDC annoncée fin janvier par l'armée congolaise et entrée dans une phase véritablement opérationnelle fin février dans les provinces du Sud et du Nord-Kivu.

M. Kobler a néanmoins démenti que l'armée et la Monusco aient cessé leur coopération, relancée en décembre par la traque des rebelles ougandais des Forces démocratiques alliées (ADF) dans le nord du Nord-Kivu.

Contre "les ADF, c'est une vraie coopération, cela n'a pas changé jusqu'à maintenant", a affirmé Martin Kobler en réponse à une question : "Nos troupes vivent ensemble, mangent ensemble, combattent ensemble dans la brousse".

Sous le couvert de l'anonymat, un général congolais a cependant dit le contraire à l'AFP. Sur le front des ADF, "nous menons nos opérations avec nos seuls moyens", a-t-il déclaré.

Des diplomates vont plus loin, affirmant que l'armée congolaise a reçu l'ordre de cesser toute collaboration avec la Monusco et que la consigne est appliquée depuis quelques jours, ce que dément M. Kobler en disant que d'autres opérations communes Monusco-FARDC (Forces armées de la RDC) ont lieu, notamment contre les rebelles de l'Armée de résistance du Seigneur (LRA), dans le nord-est.

Martin Kobler est arrivé en RDC mi-2013. Le début de son mandat a été marqué par une bonne collaboration entre la Monusco et les autorités qui a conduit en novembre de cette même année à la défaite, après 18 mois d'insurrection au Nord-Kivu, de la rébellion du Mouvement du 23 Mars (M23), soutenue par l'Ouganda et le Rwanda.

Les difficultés sont apparues à partir de janvier 2014 à l'occasion de divergences sur la façon de poursuivre la stabilisation de l'est du pays, déchiré par les conflits armés depuis plus de vingt ans, et où pullulent encore une cinquantaine de groupes armés, en particulier face au peu d'empressement de Kinshasa à combattre les rebelles hutu des Forces démocratiques de libération du Rwanda (FDLR) dont la neutralisation était un objectif onusien prioritaire.

Elles se sont exacerbées avec les critiques répétées de la Monusco sur les violations des droits de l'Homme en RDC et ses appels à ce que M. Kabila, au pouvoir depuis 2001, abandonne son poste en 2016, conformément à la Constitution, dénoncés par Kinshasa comme autant d'ingérences inacceptables.

Alors que l'on attendait en janvier une opération commune FARDC-Monusco contre les FDLR, l'ONU a posé comme condition à son soutien et à sa participation à l'offensive la mise à l'écart de deux généraux congolais qui venaient d'être nommés pour la coordonner, les accusant de s'être rendus coupables par le passé de graves violations des droits de l'Homme. Face au refus d'obtempérer de Kinshasa, les choses sont bloquées, et chacune des deux parties accuse l'autre d'être responsable du blocage.

Plusieurs des chefs et des membres les plus anciens des FDLR, opposées au président rwandais Paul Kagame, sont recherchés par la justice internationale pour leur participation présumée au génocide des Tutsi de 1994 au Rwanda.

mj/bds

© 1994-2015 Agence France-Presse

Democratic Republic of the Congo: Sud Kivu : financement de construction d’un canal d’irrigation

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Source: UN Organization Stabilization Mission in the Democratic Republic of the Congo
Country: Democratic Republic of the Congo

Uvira, le 5 mars 2015 – Armand Forster, Chef du Sous-bureau intérimaire de la MONUSCO/Uvira a procédé ce jour à la remise officielle de la première tranche du financement du projet de construction du canal d’irrigation de Tengetenge à Luberizi à une soixantaine de kilomètres d’Uvira au Sud-Kivu. Ce Projet à Impact Rapide (QIP) de la Mission de l’Organisation des Nations Unies pour la stabilisation en RDC vise à lutter contre la pauvreté et à faciliter la pacification communautaire de cette partie de la Plaine de la Ruzizi, a souligné M. Forster.

Le projet « va réunir toutes les communautés locales :Bafuliiru, Banyamulenge, Barundi…. sans exception » a-t-il poursuivi. Armand Forster a estimé à plus de 45 300 dollars américains le coût global dudit projet.

Le projet de construction du canal d’irrigation de Tengetenge à Luberizi remonte à l’époque coloniale belge (1952). Ce canal fournissait de l’eau potable à la population locale et permettait d’irriguer des champs. Mais à cause des différentes guerres que le pays et le territoire d’Uvira ont connues, il était tombé en ruines.

Le canal va être curé sur une distance d’au moins 7 kilomètres, avec à la clé, la reconstruction d’un nouveau mur de soutènement.

Le projet va créer quelques emplois. Une centaine de personnes pourront être employées. Il sera exécuté par l’ONG locale ASCAR (Association pour la Construction et l’Aménagement et la Réhabilitation). Il fait partie des activités de la MONUSCO dans le cadre de l’Ilot de Stabilité de Sangé. Parmi ces activités, au nombre desquelles figure la construction prochaine de bureaux pour la Direction Générale des Migrations (DGM) à Bwegera et Luvungi, le forage de cinq puits à Mutarule (2), Luberizi, Bwasa, Bwegera et la construction de bureaux pour la Police congolaise à Sange.

Jean-Tobie Okala

Democratic Republic of the Congo: Conférence de presse des Nations unies du mercredi 11 mars 2015

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Source: UN Organization Stabilization Mission in the Democratic Republic of the Congo
Country: Democratic Republic of the Congo, Rwanda, Uganda

Charles Antoine Bambara : Mesdames, Mesdemoiselles et Messieurs, Membres de la presse, Auditeurs de Radio Okapi, Bonjour et bienvenue à ce rendez-vous hebdomadaire. ƒ

  • Activités des Composantes de la MONUSCO
    -ƒ Activités de l’Equipe-Pays
    -ƒ Situation militaire

Activités des Composantes de la MONUSCO

Droits de l’Homme :

Dans le cadre de son mandat tel que défini par le Conseil de sécurité des Nations Unies, le Bureau Conjoint des Nations Unies aux Droits de l’Homme (BCNUDH) en République démocratique du Congo (RDC) assure une surveillance étroite de la situation des droits de l’homme à travers le territoire congolais et procède à des analyses des tendances relatives à cette situation dans ce pays.
Des informations sur ces tendances, qui sont régulièrement partagées avec les autorités congolaises afin qu’elles prennent les actions nécessaires en vue de traduire en justice les auteurs des violations des droits de l’homme documentées par le BCNUDH, sont présentées de manière mensuelle à la conférence de presse hebdomadaire des Nations Unies.

Au cours du mois de janvier 2015, le BCNUDH a enregistré 170 violations des droits de l’homme sur le territoire de la RDC, ce qui représente une hausse par rapport au mois de décembre 2014 (155 violations enregistrées). Les provinces les plus touchées restent les provinces de l’est de la RDC, à savoir la province du Nord-Kivu (84 violations), la province Orientale (39 violations) et la province du Sud-Kivu (10 violations).

L’ensemble des agents étatiques a été responsable de 96 violations ayant fait 752 victimes, ce qui correspond à plus de 56% du nombre total des violations des droits de l’homme enregistrées par le BCNUDH en janvier 2015. Parmi les agents étatiques, les agents de la Police nationale congolaise (PNC) ont été les principaux responsables des violations des droits de l’homme commises en janvier 2015 (49 violations et 643 victimes), ce qui peut s’expliquer par le nombre élevé de violations et de victimes de ces violations commises dans le cadre des manifestations contre le projet de loi électorale. Les militaires des Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC) ont été responsables de 44 violations ayant fait 106 victimes. Les combattants des groupes armés, tous confondus, ont été responsables de 74 violations ayant fait 138 victimes en janvier 2015. Parmi les groupes armés, les combattants des Forces démocratiques de libération du Rwanda (FDLR) ont été les principaux auteurs des violations des droits de l’homme documentés par le BCNUDH au mois de janvier 2015 (33 violations et 43 victimes).

World: Human Rights and Democracy: The 2014 Foreign & Commonwealth Office Report

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Source: Government of the United Kingdom
Country: Afghanistan, Albania, Algeria, Anguilla, Argentina, Armenia, Australia, Azerbaijan, Bahrain, Bermuda, Bolivia (Plurinational State of), Bosnia and Herzegovina, Botswana, Brazil, British Virgin Islands, Brunei Darussalam, Bulgaria, Cambodia, Cameroon, Canada, Cayman Islands, Central African Republic, Chad, Chile, China, China - Hong Kong (Special Administrative Region), Colombia, Cuba, Cyprus, Democratic People's Republic of Korea, Democratic Republic of the Congo, Denmark, Dominica, Dominican Republic, Egypt, El Salvador, Eritrea, Ethiopia, Falkland Islands (Malvinas), Fiji, France, Gambia, Georgia, Germany, Gibraltar, Guatemala, Guinea-Bissau, Honduras, Hungary, Iceland, India, Indonesia, Iran (Islamic Republic of), Iraq, Israel, Italy, Jamaica, Japan, Jordan, Kazakhstan, Kenya, Lao People's Democratic Republic (the), Lebanon, Liberia, Libya, Malaysia, Mali, Malta, Mexico, Moldova, Montenegro, Montserrat, Morocco, Mozambique, Myanmar, Netherlands, New Zealand, Nigeria, occupied Palestinian territory, Pakistan, Peru, Poland, Qatar, Republic of Korea, Russian Federation, Rwanda, San Marino, Saudi Arabia, Serbia, Seychelles, Sierra Leone, Slovakia, Slovenia, South Sudan, Sri Lanka, Sudan, Switzerland, Syrian Arab Republic, Tajikistan, Thailand, the former Yugoslav Republic of Macedonia, Tunisia, Turkey, Turkmenistan, Turks and Caicos Islands, Uganda, Ukraine, United Kingdom of Great Britain and Northern Ireland, United States of America, Uruguay, Uzbekistan, Vanuatu, Venezuela (Bolivarian Republic of), Viet Nam, World, Yemen, Zimbabwe

Executive Summary

This report provides a UK perspective on the global human rights situation during 2014, and examples of what the government is doing to promote human rights and democratic values overseas. It reviews the situation in specific countries and against the thematic priorities around which our work is organised.

One of the most striking trends of 2014 was the pressure put by governments on civil society organisations in many parts of the world, damaging human rights and the economic interests of those same countries.

Chapter I focuses on the protection of civil society space and those who defend it.

It sets out how the UK has worked through the UN and features case studies on Eastern Europe and Central Asia, and Burma. It describes what the UK is doing to support human rights defenders, including through the EU, particularly in Afghanistan. 2014 was an important year for our Preventing Sexual Violence Initiative (PSVI), marking two years since its launch.

Chapter II sets out achievements in this area, including the Global Summit to End Sexual Violence in Conflict and increasing support for the Declaration of Commitment to End Sexual Violence in Conflict, and our plans to address the myriad challenges that remain.

Chapter III focuses on the FCO’s programme and project work on human rights, with case studies on each of our priority areas, and the steps we have taken to mainstream human rights across the FCO network. It also includes material on the Department for International Development’s work on economic and social rights.

Chapters IV, V, VI and VII cover issues related to our six thematic priorities: freedom of expression on the internet, abolition of the death penalty, torture prevention, freedom of religion or belief, women’s rights, and business and human rights.

Chapter IV focuses on freedom of expression and democracy.

Acknowledging that democracy takes many forms, and evolves over time, the UK’s own experience strengthens our conviction that democracy offers the best system for protecting human rights, guaranteeing the rule of law, supporting economic development and preventing conflict.

This chapter sets out the UK’s approach to democracy strengthening, including work carried out by the Westminster Foundation for Democracy. It features case studies on democratic developments and challenges during 2014, such as the Fijian and Tunisian elections, and the military coup in Thailand.

Freedom of expression is an essential element of any functioning democracy, and this section also features our work in this area, through fora like the Freedom Online Coalition, in which the UK plays a leading role. It includes case studies on countries where media freedoms were under threat in 2014, such as China, Ethiopia and Honduras.

Chapter V sets out our work on abolition of the death penalty and on torture prevention, and our efforts to support the international justice system. Our ambition remains a world free of capital punishment and torture, where there can be no impunity for genocide, war crimes and crimes against humanity.
It is also strongly in our interest, and those of our international partners, that the citizens of all countries can fulfil their potential, free from discrimination on any grounds. Chapter VI describes our efforts to promote equality internationally, including by focusing on: freedom of religion or belief, with case studies on the Middle East, South East Asia, and ISIL; anti-Muslim hatred, antisemitism and post-Holocaust issues (particularly the UK’s chairmanship of the International Holocaust Remembrance Alliance).

This chapter also illustrates the priority we attach to women’s rights, and children’s rights, with case studies on India, and on the Girl Summit (hosted by the Prime Minister in June 2014), which changed the terms of global debate on child, early and forced marriage, and female genital mutilation;
LGB&T rights, where the UK promoted inclusive societies in all parts of the world and condemned restrictions and violence against LGB&T people (including by action in international fora); and disability and indigenous rights.

Chapter VII explores the human rights dimension of the UK’s security agenda: counter-terrorism; reducing conflict and building stability overseas; women, peace and security, and the protection of civilians. It features case studies on Boko Haram in Nigeria, and Ebola.

Chapter VIII focuses on business and human rights, setting out our progress on implementation of the UK National Action Plan, and our efforts to promote responsible business practice internationally.
Protecting the human rights of British nationals overseas is a top priority. Chapter IX describes the actions taken by our officials to support those who are detained, facing the death penalty, forced into marriage, at risk of female genital mutilation, or involved in child abduction cases.

As a nation with global interests, the UK has both the motive and the means to shape the international community’s response to human rights priorities. Chapter X details how we worked through the international system in 2014, with a particular focus on the UN Human Rights Council, where we resumed our seat as a voting member, and have had a positive impact on issues from Sri Lanka to freedom of religion or belief. This chapter also looks at how we work through the European institutions and the Commonwealth, and includes a case study on the international response to Russia’s illegal annexation of Crimea and separatist-occupied areas of Ukraine.

The UK government expects Overseas Territories which choose to remain British (for example, Bermuda, the Cayman Islands, Gibraltar etc.) to abide by the same basic standards of human rights as the UK. Chapter XI sets out how we continued to pursue our programme to extend core UN human rights conventions to the territories where possible, and to implement child safeguarding initiatives.

The final section of this report contains an assessment of the human rights situation in 27 countries where the UK has wide-ranging concerns. Online, we continue to report on developments in these countries on a quarterly basis. Our concerns, and the manner in which we raise them, is rooted in a desire to understand the local context, and to help these governments extend to all their citizens the full benefit of human rights we enjoy ourselves.

Mali: Cereal Supply/Demand Balance for Sub-Saharan Africa as of mid-February 2015

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Source: Food and Agriculture Organization
Country: Angola, Benin, Botswana, Burkina Faso, Burundi, Cabo Verde, Cameroon, Central African Republic, Chad, Comoros, Congo, Côte d'Ivoire, Democratic Republic of the Congo, Djibouti, Equatorial Guinea, Eritrea, Ethiopia, Gabon, Gambia, Ghana, Guinea, Guinea-Bissau, Kenya, Lesotho, Liberia, Madagascar, Malawi, Mali, Mauritania, Mauritius, Mozambique, Namibia, Niger, Nigeria, Rwanda, Sao Tome and Principe, Senegal, Seychelles, Sierra Leone, Somalia, South Africa, Sudan, Swaziland, Togo, Uganda, United Republic of Tanzania, Zambia, Zimbabwe

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